La trilogie celte
De l’Irlande aux Îles au Nord du Monde, les voyages d’Eogan et de Fergus
La « trilogie celte » (Par le feu, T1, Par la vague, T2, Par le vent, T3) est un étonnant voyage de l’Irlande à l’Ecosse, au Pays de Galles et à l’Armorique et enfin jusqu’aux îles au Nord du Monde, séjours des dieux et lieux de toutes les initiations.
Les personnages principaux
Deux jeunes druides : Eogan et Fergus.
Contexte historique du premier tome
Nous sommes en Irlande, en 420, le “dark age”, l’âge obscur, le siècle perdu des historiens, un siècle de batailles, sans autre mémoire que celle gravée dans la roche et le bois. Un âge où les anciens dieux, les Tuatha de Danann sont omniprésents, où toute eau, lac, rivière et étang, mène au Sid, l’au-delà des Celtes ; où les fêtes sacerdotales ont pour nom Belteine, Lugnasad et Samain. Un siècle bouleversé par l’arrivée des premiers Chrétiens et de saint Patrick. En ce temps-là, alors que l’empire romain bascule et que les légions refluent vers Rome, l’Irlande est partagée en cinq royaumes : Meath, le royaume du Milieu, siège de la royauté suprême, l’Ulster, le Connaught, le Munster, et le Leinster. Dans chacun d’eux sont érigés des sanctuaires, lieux divins, lieux de pouvoir et passages vers le Sid.
Tous les hommes d’Irlande, du guerrier au chef de clan, jusqu’au plus puissant des princes font allégeance au Haut-Roi du Meath et reconnaissent la sagesse de ceux qui maintiennent la paix : druides et druidesses, descendants du Dagda, le dieu-druide, maître des éléments et du savoir.
Contexte historique du deuxième tome
Au moment où commence ce livre, la guerre et la peste déciment les cinq royaumes d’Irlande. Un moine nommé Patrick touchera bientôt terre, remontant le Strangford Lough jusqu’à Saul où, dans une grange, il construira sa première église.
L’Ecosse du nord est aux mains des Pictes, des guerriers si redoutables que les Romains ont érigé deux murailles pour s’en protéger. Un clan irlandais, celui des Dal Riata, bien décidé à s’implanter sur leurs terres, les combat avec acharnement. Un clan que plus tard… bien plus tard, on nommera Scots et qui deviendra l’actuel peuple écossais.
Au Pays de Galles, les chefs de clans combattent les Pictes, les Saxons, les Angles et les Jutes… Parmi eux, un chef se distingue Art l’ours, plus connu sous le nom d’Arthur. Un chef sur lequel courent bien des légendes.
Contexte historique du troisième tome
Vous êtes en 420, sur le seuil d’une histoire oubliée, dans un monde, celui des Celtes, différent de tout ce que vous connaissez (*). C’est le “dark age”, l’âge obscur, une période qui s’étendra sur près d’un demi-millénaire. Au moment où commence ce livre, nous sommes en Armorique, passant de l’île de Cézembre, à Alet puis à la légendaire forêt de Scissy, au Mont-Dol et à ce qui deviendra plus tard le Mont Saint-Michel.
Les dernières légions romaines, dont les Martenses installés dans l’enceinte fortifiée d’Alet, quittent le pays pour aller se battre sur les frontières de l’Est. Rome s’est libérée de la présence des Wisigoths mais Burgondes, Alains et Vandales franchissent le Rhin. Les barbares sont partout.
La religion chrétienne est devenue religion officielle, les moines bâtissent leurs églises sur les anciens sanctuaires. En ces temps difficiles, druides et druidesses, descendants du Dagda, le dieu-druide maître des éléments, peinent à maintenir la paix. Ils savent que la fin de leur temps est venue et se préparent à disparaître.